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Alors que des preuves accablantes s’accumulent sur l’implication de l’UNRWA avec le Hamas, une partie de la gauche française persiste à défendre cette organisation corrompue, transformée en outil de propagande et de soutien au terrorisme islamiste. En recevant officiellement ses représentants à l’Assemblée nationale, le Parti socialiste et La France insoumise ont franchi un cap dans leur complaisance avec une agence qui, loin d’être humanitaire, agit comme un rouage essentiel de l’infrastructure terroriste à Gaza.
L’UNRWA : Une Agence Complice du Hamas
Depuis des années, des enquêtes internationales et des rapports de renseignement démontrent les liens profonds entre l’UNRWA et le Hamas. L’agence onusienne, censée venir en aide aux Palestiniens, est en réalité infiltrée par des membres de l’organisation terroriste et sert de couverture à ses activités criminelles.
Des révélations récentes ont confirmé que plusieurs employés de l’UNRWA ont participé au massacre du 7 octobre en Israël, où plus de 1 200 personnes ont été assassinées, femmes et enfants compris. Pire encore, des otages israéliens ont été détenus dans des infrastructures appartenant à l’UNRWA, soulignant l’implication directe de cette organisation dans les exactions du Hamas. Des employés, au lieu d’être des humanitaires, se sont avérés être des terroristes actifs.
Ces faits ne sont pas isolés : depuis des années, des rapports dénoncent l’endoctrinement systématique dans les écoles de l’UNRWA, où les enfants palestiniens sont formatés dès le plus jeune âge à haïr les Juifs et à considérer le terrorisme comme un moyen légitime de “résistance”. Des manuels scolaires financés par des fonds internationaux enseignent aux élèves comment poignarder un Israélien, glorifient les “martyrs” et effacent purement et simplement Israël des cartes géographiques.
La Gauche française au secours d’un instrument du terrorisme
Malgré ces preuves incontestables, une partie de la gauche française, du PS à LFI, continue à défendre bec et ongles cette agence compromise. Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, a ainsi fièrement annoncé sur les réseaux sociaux avoir rencontré des représentants de l’UNRWA. Il y dépeint une Gaza dévastée, appelant au maintien du soutien à cette organisation onusienne, sans jamais évoquer son rôle dans la tragédie du 7 octobre ni sa compromission avec le Hamas.
De son côté, Mathilde Panot (LFI), en rencontrant des dirigeants de l’UNRWA, s’est empressée de dénoncer une prétendue “campagne de calomnies” contre l’agence et de réclamer son renforcement. À aucun moment, elle ne s’interroge sur les accusations graves pesant sur l’organisation. À aucun moment, elle ne remet en question le financement d’un système qui instrumentalise les Palestiniens et perpétue leur souffrance au service de la guerre contre Israël.
Cette complaisance pose une question fondamentale : comment des responsables politiques français peuvent-ils encore justifier un soutien à une agence gangrenée par le terrorisme, alors que des preuves irréfutables existent sur son rôle dans l’engrenage de la violence ?
L’UNRWA : Un obstacle à la paix et une tragédie pour les Palestiniens
Loin d’être une organisation humanitaire, l’UNRWA est un outil de maintien sous dépendance de la population palestinienne. Plutôt que d’aider à construire une société civile viable, elle enferme des générations entières dans un statut de “réfugiés permanents”, sans jamais favoriser l’intégration ou le développement économique.
Cette agence, en inculquant la haine dès l’enfance, en servant de couverture aux activités terroristes et en maintenant les Palestiniens dans une logique de conflit perpétuel, agit contre leurs intérêts. Elle les empêche de bâtir un avenir en paix et renforce la mainmise du Hamas sur Gaza.
Ceux qui, en France, soutiennent aujourd’hui l’UNRWA ne soutiennent pas les Palestiniens, mais un système qui les utilise comme chair à canon. Ils participent à entretenir une tragédie sans fin, où la misère et le désespoir sont instrumentalisés au profit de l’agenda terroriste du Hamas.
Un scandale politique et moral
Que des responsables politiques français, qui prétendent incarner les valeurs de la République, puissent soutenir une organisation qui a servi de base arrière à l’un des pogroms les plus barbares du XXIe siècle est un scandale moral. Plutôt que de demander une réforme en profondeur, de condamner les compromissions et de conditionner toute aide à une véritable neutralité humanitaire, la gauche choisit l’aveuglement volontaire et la soumission à une idéologie mortifère.
En s’alliant à l’UNRWA, elle trahit non seulement la mémoire des victimes du 7 octobre, mais aussi les Palestiniens eux-mêmes, pris en otage par une machine qui les empêche de se libérer de la spirale de la haine et du fanatisme.
Le temps est venu d’ouvrir les yeux : l’UNRWA, dans sa forme actuelle, est un danger. La communauté internationale doit cesser de financer une agence qui n’est plus un organisme d’aide, mais un outil de guerre. Ceux qui, en France, continuent à la soutenir, portent une responsabilité immense.